Bali : ses transports.
- A Bali, les deux roues sont les rois ! Avec plus de 10 scooters pour une voiture, les routes de l'île ne ressemblent pas aux françaises. Le choix du scooter est simple lorsqu'on sait qu'il suffit d'une voiture garée sur le bord de la route pour déclencher un mini-embouteillage. Et on peut noter que le port du casque est respecté, ce qui est une preuve de bon sens de la part des Indonésiens quand on voit la jungle qu'est la route chez eux (N.B : c'est quand même moins la jungle qu'en Egypte).
- A Bali, on peut voir une famille entière sur un scooter. Le père, la mère et les trois enfants. True story.
- A Bali, presque toutes la voitures sont des taxis (ou plutôt des "taksi"), qui te klaxonne si tu es piéton dans l'espoir que tu marches parce que tu veux prendre le taxi (logique non?).
- A Bali, roule comme les Anglais : le volant à droite, sur la route à gauche.
- A Bali, les limites de vitesse n'existent pas. Heureusement, il y a toujours suffisament de trafic pour que les gens roulent naturellement à vitesse modérée.
- A Bali, on double à droite ou à gauche, selon l'envie.
- A Bali, les feux tricolores ressemblent parfois à un départ de courses : le temps des "verts" et des "rouges" y est affiché et s'écoule seconde par seconde sur l'horloge électronique.
- A Bali, il n'y a ni priorités à droite, ni sens interdits ; enfin il n'y en a aucun qui soit respecté !
- Et ce qui est le plus surprenant dans les transports à Bali, c'est que les gens restent malgré tout très calmes et civils sur la route !
Ci-dessous : un parking à Bali, avec sa masse de scooters et ses quelques voitures (sur la droite).
